Adrian – Mondo Agit http://www.mondoagit.fr Agence de traduction Tue, 18 Apr 2017 11:59:30 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.7.30 Créer une entreprise au Portugal http://www.mondoagit.fr/creer-une-entreprise-au-portugal/ http://www.mondoagit.fr/creer-une-entreprise-au-portugal/#respond Mon, 13 Jul 2015 12:00:21 +0000 http://www.mondoagit.co.uk/?p=2595 Porto

Aujourd’hui nous avons le plaisir de vous faire partager un entretien avec Paula Pinto Ribeiro à propos de la manière de développer une entreprise sur le marché portugais :

Mondo Agit: Bonjour Paula, nous avons quelques questions à te poser pour ceux qui veulent monter leur entreprise au Portugal.

Selon toi, et d’un point de vue économique, quelle serait la meilleure situation géographique pour installer son entreprise ? Quelles différences existe-t-il selon le domaine de l’entreprise (usine, tourisme, boutique, bureaux…) ?

Paula Pinto: Bonjour. Les zones les plus intéressantes sont, bien entendu, les grandes villes comme Porto et Lisbonne. Pour une usine, je pense que la meilleure situation géographique se trouve au nord du Portugal, et, en fonction du type d’usine, je crois que l’État offre une aide financière (vous pouvez demander plus d’informations aux mairies locales).

Le tourisme est un domaine des plus attrayants : vous avez les plages si appréciées de l’Algarve, la capitale Lisbonne qui est une très belle ville et Porto, qui est classée depuis quelques années au patrimoine mondial de l’humanité et que l’on connait pour son vin et son hospitalité, et que je ne peux que recommander car c’est ma ville !

Mondo Agit: D’une manière générale, que recherchent les clients portugais ? Que doit-on leur apporter pour gagner leur confiance et réussir à vendre au Portugal ?

Paula Pinto: Nous faisons attention au service, à la prise en compte du client et à la qualité de ce que nous achetons ! La sincérité et la confiance en l’entreprise ou en la personne qui nous vend un produit ou un service sont deux choses très importantes pour nous.

Mondo Agit: Y a-t-il quelque chose que nous ne devrions jamais faire lorsque nous rencontrons un Portugais ?

Paula Pinto: Il ne faut pas parler de football, de politique et de religion.

Mondo Agit: Qu’est ce qui peut te faire gagner le cœur d’un Portugais ?

Paula Pinto: L’honnêteté et la sincérité, avant tout.

Mondo Agit: Comment les étrangers se sentent-ils là bas ? Et, concrètement, comment les espagnols se sentent-ils au Portugal ?

Paula Pinto: Les Portugais sont connus pour leur hospitalité. Nous mettons les étrangers sur un pied d’égalité avec les locaux, car ce qui nous importe, ce n’est pas la nationalité, mais la personne !

Mondo Agit: Au Portugal, faut-il afficher une image d’entreprise étrangère ou faire en sorte de ressembler à une entreprise locale ? (quels sont les pours et les contres ?)

Paula Pinto: Le mieux est encore de ressembler à ce que vous êtes !

Mondo Agit: Passons maintenant à quelques questions pratiques :

Est-ce qu’une entreprise étrangère peut vendre au Portugal en toute simplicité ? Que faut-il prendre en compte d’un point de vu fiscal, légal ou administratif pour pouvoir vendre là-bas ?

Paula Pinto: Mieux vaut prendre un rendez-vous avec un conseiller ou un avocat. Il faut pouvoir gérer beaucoup d’aspects légaux et rien ne vaut les conseils d’un spécialiste pour que tout fonctionne pour le mieux.

Mondo Agit: En ce qui concerne les services financiers, quelle banque conseillerais-tu ? Connais-tu une banque spécialisée dans les entreprises étrangères qui pourrait nous aider dans nos démarches ? Comment paye-t-on habituellement au Portugal ? Par carte, par Paypal ou par des services similaires ?

Paula Pinto: Il y a beaucoup de banques étrangères ici qui sont aussi présentes au Portugal. La carte bancaire est le moyen de paiement le plus populaire au Portugal. Paypal et ce type de service ne sont pas beaucoup utilisés, seulement pour certains services (chez TAP par exemple, l’une des plus grandes entreprise qui utilise actuellement Paypal).

Mondo Agit: Faut-il obligatoirement avoir un associé/contact portugais pour pouvoir vendre là bas ?

Paula Pinto: Je ne pense pas, mais là encore, mieux vaut poser la question à un conseiller ou à un avocat.

Mondo Agit: Et pour finir, as-tu des conseils pour ceux qui veulent installer une succursale ou une entreprise au Portugal ?

Paula Pinto: Qu’ils fournissent un travail de qualité et qu’ils fassent en sorte de se renseigner un minimum sur les coutumes locales avant de se lancer. Le Portugal est un petit pays mais riche d’une multitude de coutumes.

Mondo Agit: Merci pour cet entretien, Paula!

Paula Pinto: Merci à vous et bonne chance à tous 😀

Paula Ribeiro

Paula Ribeiro est à la tête d’une entreprise de traduction au Portugal (Crossing Words) et offre ses services de traduction sur le marché portugais et européen.

Essayez nos services de traduction du Français au Portugais

 

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Comment ouvrir une succursale de votre entreprise en Russie http://www.mondoagit.fr/ouvrir-une-succursale-en-russie/ http://www.mondoagit.fr/ouvrir-une-succursale-en-russie/#respond Wed, 20 May 2015 10:38:27 +0000 http://www.mondoagit.fr/?p=1589 Cathédrale Moscou

CC BY-SA 3.0; By Alessio Damato

Comme nous vous l’avions promis dans notre dernier article, voici l’interview d’Irena :

Bonjour Irena, merci de nous laisser vous poser quelques questions pour les personnes qui envisagent de développer leur entreprise en Russie.

En général, qu’est-ce qui plait aux clients russes ? De quoi avons-nous besoin pour gagner leur confiance et vendre en Russie ?

Les clients russes achètent plus souvent des marques reconnues mondialement et leur font plus confiance. Si vous souhaitez vendre en Russie, votre marque doit avoir de la notoriété, sinon vous aurez des difficultés à atteindre le marché russe.

Bien sûr, il existe un profil type du client russe qui achète des produits de luxe et dont le pouvoir d’achat est élevé, mais ce n’est pas le plus fréquent.

Si vous deviez en choisir quatre ou cinq, quelles seraient selon vous les différences culturelles les plus importantes entre les clients russes et les autres ?

En général, les principales différences sont liées à la langue et à l’alphabet, au climat, à la situation géographique, au style de vie, à la religion, etc. Pour ce qui est du client, je dirais que les Russes font très attention à la marque des produits (bien plus que les autres nationalités) et au prix avant d’acheter. Ils sont également très exigeants.

Que ne faut-il jamais faire quand on rencontre un Russe ?

Il faut être à l’heure au rendez-vous, garder ses distances et avoir l’air sérieux ou responsable. Les Russes apprécient la ponctualité et le sérieux. Quand vous proposerez un produit ou un service à un client russe, je vous conseille d’être très formel et ponctuel et de donner toutes les informations sur votre produit (que ça soit les points positifs ou négatifs) afin de gagner sa confiance. Les Russes aiment comparer et vérifier les informations. Ils prennent également très en considération les commentaires et conseils de leurs compatriotes.

Que faire pour apprivoiser un Russe ?

Je dirais qu’il n’y a pas de grandes différences par rapport aux autres nationalités européennes. Il faut leur inspirer confiance, comme à toute personne, et se montrer sympathique, franc et sincère. Si à tout cela, vous ajoutez de bons petits plats et un bon vin, c’est encore mieux ?

Que pensent les Russes des étrangers chez eux ?

Les étrangers sont, en général, bien vus, en particulier les touristes.

Moscow City

CC BY-SA 3.0; By Dmitry97ken

En Russie, qu’est-ce qui est préférable : montrer que notre entreprise est étrangère ou essayer d’adopter les couleurs locales ?

Je pense que les Russes font plus confiance aux entreprises étrangères que locales. Par exemple, ils préfèrent déposer leur argent dans une banque étrangère plutôt que dans une banque russe, acheter des chaussures italiennes ou encore un bon vin espagnol. À mon avis, il vaut mieux montrer que votre entreprise est étrangère et si votre marque est reconnue, c’est encore mieux.

Quelques questions pratiques à présent :

Une entreprise étrangère peut-elle vendre en Russie sans rien de plus ? Quels sont les aspects fiscaux, légaux et administratifs dont il faut tenir compte pour vendre en Russie ?

Les aspects fiscaux, légaux et administratifs sont très différents là-bas et varient en fonction du type de produit ou de service : les produits importés par la Russie doivent être certifiés ; il est nécessaire pour exporter en Russie de posséder un contrat signé ; les douanes russes sont en général plus bureaucratiques, etc.

De plus, ces aspects peuvent changer d’un jour à l’autre.

En ce qui concerne les services financiers, si je me souviens bien, PayPal n’est pas disponible là-bas, quelles sont donc les autres options semblables ? Que conseillez-vous pour le change d’argent ?

PayPal est arrivé sur le marché russe avec le rouble en septembre 2013. Cependant, il existe d’autres systèmes locaux de paiement électronique qui sont bien plus populaires. Par exemple, Yandex Money ou WebMoney.

À cause des commissions élevées que les banques russes touchent en général et du manque de confiance dans les paiements électroniques, les Russes préfèrent généralement payer en cache (contre-remboursement). Il est également normal en Russie de payer sur des terminaux (Qiwi, par exemple), qui sont disponibles dans les rues, les centres commerciaux, etc.

En bref, comment ça marche les visas en Russie ?

Le visa est une autorisation pour rentrer, rester ou passer sur le territoire de la Fédération de Russie nécessaire les citoyens ayant une autre nationalité. C’est un document à joindre au passeport. Si vous êtes étranger, vous devez avoir un visa en votre possession pour voyager en Russie que ça soit pour faire du tourisme, pour les affaires, pour les études, pour votre travail, etc.

Pour obtenir votre visa le plus rapidement, vous devez faire les démarches dans un Centre de Visa pour la Russie, une entité autorisée par la Fédération de Russie. Vous devrez remplir un formulaire de demande et apporter les documents nécessaires pour les formalités (en gros, votre passeport, une assurance d’assistance médicale pour votre voyage, une invitation, et le justificatif du paiement des taxes).

Dans tous les cas, de nombreuses personnes préfèrent se rendre directement dans une agence de voyages qui s’occupe de toutes les démarches. C’est plus cher, mais l’agence se charge de tout.

Est-il nécessaire d’avoir un contact ou un associé russe pour vendre là-bas ?

Il est toujours préférable d’avoir un associé local russe vu les grandes différences culturelles qui existent.

Dernière question, avez-vous un conseil supplémentaire pour ceux qui souhaitent ouvrir une succursale ou développer leurs affaires en Russie ?

Avant de choisir le marché russe, il faut vraiment bien le connaître et surtout être très patient. Les résultats peuvent mettre beaucoup de temps à arriver. De plus, la Russie est un pays qui n’est pas stable sur les plans économique et politique. Il ne faut pas oublier non plus les conflits belliqueux récurrents. Pour tout cela, il faut beaucoup de patience pour avoir du succès sur le marché russe.

Irena

Merci beaucoup Irena. À une prochaine !

 

Irena Domingo est née russe, mais se sent espagnole. Cette interprète et traductrice espagnol-russe possède une page Internet en espagnol et gère également un blog en espagnol (rusalia.com/blog) sur lequel vous pourrez trouver de nombreuses informations utiles pour ceux qui cherchent de l’aide pour développer leurs affaires en Russie.

Si vous avez besoin d’aide pour des traductions en russe, Mondo Agit propose également des services de traduction et de traduction assermentée en russe.

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Développer les affaires dans un autre pays – Internationaliser l’entreprise http://www.mondoagit.fr/developper-les-affaires-dans-un-autre-pays-internationaliser-lentreprise/ http://www.mondoagit.fr/developper-les-affaires-dans-un-autre-pays-internationaliser-lentreprise/#respond Tue, 21 Apr 2015 08:50:56 +0000 http://www.mondoagit.fr/?p=1571 Hambourg

Avant de lancer une entreprise ou d’ouvrir une succursale dans un autre pays, il faut toujours tenir compte de ce qui fonctionne sur notre marché car ça ne sera peut-être pas le cas ailleurs. Il faut prendre en compte les aspects légaux (la réglementation, la bureaucratie, les impôts, …), en particulier si l’intention est d’ouvrir le marché hors de l’UE.

Voici quelques questions que nous devrions nous poser avant d’étendre une entreprise à d’autres pays :

  1. Est-ce que j’aime la culture dans laquelle je vais devoir me plonger pour mener à bien l’expansion ? Si vous êtes amené à vous établir dans une région particulière et à comprendre sa culture, il vaut mieux qu’elle vous plaise. Donc, si vous n’aimez pas le froid, par exemple, réfléchissez à deux fois avant de partir pour l’aventure en Russie.
  2. Est-ce que le produit ou service que j’offre a sa place sur le marché que je vise ? Dois-je l’adapter au nouvel environnement ? Vendre des parapluies ou des manteaux là où il ne pleut et ne fait jamais froid n’a pas beaucoup de sens. Cependant, vous pouvez adapter le produit pour que cet objet qui nous protège de la pluie devienne un objet qui nous protège du soleil.
  3. Est-ce que la société est prête à recevoir mon produit ou service ? Si les gens n’ont pas l’habitude d’utiliser un service de nettoyage de voitures, il faudra vous demander si ça vaut la peine d’« éduquer » les clients (en d’autres termes, de créer un besoin) pour leur vendre votre produit par la suite. N’oubliez pas que la première personne à ouvrir un marché aura de l’avantage sur la concurrence , mais être le premier peut également tourner au désavantage.
  4. Comment sont les infrastructures dans le pays que je vise ? Est-ce que je dispose de tout ce dont j’ai besoin pour que mes affaires soient fructueuses ? (aménagement adéquat du local, communication et Internet, approvisionnement en matériel, logistique, ressources humaines, travailleurs hautement ou faiblement qualifiés, services financiers, … ).
  5. Quelles sont les lois de l’autre pays ? Y a-t-il des obstacles légaux ou de réglementation pour les entreprises ou les capitaux étrangers ? Ai-je besoin d’un partenaire local pour pouvoir ouvrir et/ou gérer l’entreprise ?
  6. Est-ce que j’ai vraiment envie de réussir à mener à bien mon projet d’expansion et ai-je assez de force et de ressources pour cela ? Ou, est-ce en réalité une question de vie ou de mort ? Dois-je vraiment agrandir mon entreprise pour ne pas perdre ma position sur le marché ?
  7. Quel est l’objectif que je poursuis avec cette expansion ? Est-il réaliste ? Quelle est l’échéance de mes objectifs ? Que se passera-t-il si je ne les atteins pas ?
    Quelles sont les bonnes raisons de prendre en charge tout le travail supplémentaire qui vous tombe dessus ? Faites-en une liste et affichez-la de manière à ce qu’elle soit bien visible.
  8. Vers qui puis-je me tourner si j’ai besoin d’aide pour mon expansion ? Où puis-je trouver des conseils d’ordre légal et administratif ? Qui peut m’aider pour le marketing et l’adaptation de mon produit ou service au nouveau marché ?

Comme vous le voyez, en plus des traductions de Mondo Agit, vous aurez besoin de beaucoup d’aide. Donc, si vous pensez développer votre entreprise à l’étranger, n’hésitez pas à nous faire part de vos doutes. Grâce à notre connaissance des autres cultures, nous pouvons sûrement devenir l’associé que vous cherchez pour votre aventure internationale.

Dans notre prochain article, vous pourrez lire une interview de Irena Domingo, qui nous expliquera comment lancer une entreprise en Russie. Elle nous racontera sûrement plein de choses intéressantes.

 

Ressources intéressantes et services de Mondo Agit liés :

Adaptation de pages Web à d’autres langues et cultures

Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au développement (Belgique)

Article qui explique comment développer son entreprise à l’étranger

Chambre de commerce internationale (Belgique)

Chambre de commerce internationale (France)

Chambre de commerce internationale (Suisse)

Département fédéral des affaires étrangères (Suisse)

Ministère français des Affaires étrangères et du Développement international

Reconnaissance et homologation de traductions jurées

Traduction de textes publicitaires

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Interview Marijke Foundation http://www.mondoagit.fr/interview-marijke-foundation/ http://www.mondoagit.fr/interview-marijke-foundation/#respond Tue, 07 Apr 2015 06:54:46 +0000 http://www.mondoagit.fr/?p=1560 Symptomatrix

Interview de M. Han Kruyswijk, secrétaire de la Marijke Foundation (17 décembre 2014)

Aujourd’hui, l’intiative PerMondo, (qui offre des traductions gratuites pour les associations sans but lucratif) a un entretien avec M. Han Kruyswijk.

  1. Que faites-vous exactement ?

La Symptomatrix Team de la Marijke Foundation a développé un outil d’évaluation des symptômes, appelé Symptomatrix. Cet outil se base sur la science pour détecter et dépister le plus tôt possible deux maladies rares : l’artérite à cellules géantes (ACG) et la polymyalgie rhumatismale (PR). Il est en général difficile pour les médecins traitants et les spécialistes de reconnaître et de diagnostiquer ces maladies.

Toutes deux sont des inflammations rhumatismales des artères dans la tête et dans d’autres parties du corps. L’ACG peut être mortelle si elle n’est pas diagnostiquée à un stade peu avancé.

Ces maladies sont plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes avec un ratio de 3:1. Elles sont également plus fréquentes chez les personnes de peau claire que chez celles de peau foncée et elles se déclarent plus souvent chez les personnes d’environ 45 ans ou plus.

Le Symptomatrix est disponible en cinq langues sur Internet : néerlandais, anglais, allemand, français et espagnol. Il est également facilement accessible pour tous, même pour les médecins traitants et les spécialistes médicaux.

  1. Depuis combien de temps déjà faites-vous partie de la Marijke Foundation et qu’est-ce qui vous plait le plus dans votre travail ?

La Marijke Foundation a été conçue en mai 2003. Je l’ai officiellement lancée en juillet 2003 après le décès de ma femme à la suite d’une ACG. Selon les spécialistes, elle aurait pu rester en vie et être soignée si l’ACG avait été diagnostiquée et traitée plus tôt.

Depuis lors, je suis au centre des activités en tant que secrétaire d’une petite équipe composée de cinq professionnels.

Essayer d’aider à prévenir les patients de toute la planète de la progression mortelle de l’ACG est la partie la plus intéressante de mon travail.

  1. Selon vous, quelle est l’influence de votre travail et de celui de la Marijke Foundation sur la société en général ?

Environ quatre millions de patients à travers le monde souffrent de ces maladies. L’ACG et la PR ainsi que le traitement aux stéroïdes (prednisolon) et ses effets secondaires irréversibles touchent fortement les patients. Notre travail porte donc principalement sur la prévention.

  1. Comment avez-vous connu PerMondo ?

Nous sommes tombés par hasard sur PerMondo en faisant des recherches sur Internet sur les agences de traduction qui pourraient traduire notre page Web en espagnol de préférence gratuitement car nous sommes une association caritative et que nos moyens financiers sont limités. La formule PerMondo / Mondo Agit que nous avons trouvée nous offrait un bon mélange d’aide caritative et de valeurs commerciales.

  1. Pourquoi aviez-vous besoin de traductions ?

Nous souhaitions traduire les textes de la partie espagnole de notre site.

  1. Que souhaitez-vous dire aux traducteurs bénévoles ?

Au nom de tous les patients qui pourront utiliser le Symptomatrix, nous exprimons toute notre gratitude pour l’aide que les traducteurs bénévoles apportent à notre travail.

Marijke Foundation

 

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Toi parler anglais ? – L’apprentissage de l’anglais en Espagne http://www.mondoagit.fr/langlais-en-espagne/ http://www.mondoagit.fr/langlais-en-espagne/#respond Tue, 03 Mar 2015 09:11:08 +0000 http://www.mondoagit.fr/?p=1572 refuser

L’enseignement m’a toujours intéressé et encore plus depuis que j’ai des enfants. C’est pourquoi, un jour, je me suis demandé quel était le problème de notre enseignement et pourquoi nous, les Espagnols, nous n’étudions pas les langues.

[Cet article est une traduction de l’espagnol.]

La façon d’enseigner l’anglais en Espagne est, comme bien d’autres choses, un vrai n’importe quoi. Comment voulez-vous apprendre à quelqu’un à parler une langue si vous ne le laissez jamais parler ?

Mais bien sûr, les enseignants ont peur de laisser les élèves interagir en classe car ils pourraient perdre le contrôle et préfèrent donc suivre le modèle d’enseignement traditionnel. L’enseignant pense : « Moi, je sais parler, donc je parle et les élèves écoutent et répètent. »

Mis à part le fait que ce n’est pas de cette manière que l’on peut apprendre une langue (comme je crois que nous pu le prouver, au-delà de tout doute raisonnable, au cours de ces trente dernières années d’enseignement des langues en Espagne), le système d’enseignement a un autre défaut très négatif lié à la méthode « punition ou récompense ».

Comme l’explique si bien Merche sur son blog (je la remercie en passant de m’avoir donné l’idée de cet article), la méthode « punition ou récompense » entraîne une démotivation alors que l’une des grandes difficultés dans l’éducation classique est de motiver les élèves pour qu’ils apprennent quelque chose qui, la plupart du temps, ne les intéresse pas. La solution de Merche est simple : arrêter les punitions et ne garder que les récompenses. Le problème de cette solution est que les récompenses peuvent être aussi démotivantes que les punitions.

Je m’explique. Si je répète sans cesse à un élève que ses phrases sont bien écrites en anglais et qu’un jour je ne lui dis rien (car ce jour-là il n’aura pas été aussi bon que d’habitude), il verra cette absence de louanges (la récompense) comme une punition. Et si je ne cesse de répéter à Eva que c’est bien qu’elle fasse des efforts et qu’elle fait du bon travail et que je ne dis rien à son voisin, ce dernier prendra cela comme une punition et il est possible que ça tourne en démotivation. Tout cela pour dire que la méthode « punition ou récompense » est inséparable. On ne peut pas récompenser sans punir, ni punir sans récompenser.

En fonction de la réponse de l’élève, punir ou récompenser peut avoir un effet supplémentaire, en plus de l’effet de démotivation, qui est celui dont je me soucie le plus. L’enseignement qui utilise cette méthode supprime toute créativité, tout comme l’expliquent Ken Robinson et Peter Gray dans leurs articles respectifs. Lorsqu’un élève se soucie de la note qu’il va recevoir (la récompense ou la punition), d’une part il a plus de mal à apprendre et, d’autre part, il n’ose pas prendre des risques, ce qui est la base de la pensée créative.

Bien entendu, mis à part la méthode d’enseignement, il existe également d’autres obstacles à l’apprentissage des langues pour un Espagnol. Plusieurs articles ont été rédigés dans la presse espagnole à ce sujet (La Razón, ABC, et El Mundo).

  1. La plupart des sons anglais n’existent pas en espagnol. En plus, les Espagnols ne savent pas différencier les voyelles longues ou courtes. Essayez de dire en anglais que vous souhaitez vous rendre à la « bitch » [bɪtʃ] au lieu de la « beach » [bɪ:tʃ].
  1. Une grande majorité des films en Espagne sont doublés. C’est un point positif pour le secteur de la traduction, mais cela n’habitue pas notre oreille à l’anglais. Tout cela pourrait amener le lecteur à se demander si la faute ne vient pas des traducteurs qui ont tout fait pour que les Espagnols ne puissent pas parler anglais.
  1. En espagnol, il suffit de lire ce qui est écrit pour prononcer un mot correctement. Par contre, comment savoir comment prononcer les mots « although », « schedule », « rhythm » et autres de la langue de Shakespeare !
  1. Nous. Je ne veux pas vous décourager, mais voici le commentaire publié dans le livre de Richard Vaughan, professeur d’anglais depuis 1974 en Espagne et qui a vu défiler plus de 6000 élèves.

 

Vaughan

License: GFDL; Source: Wikipedia

Question : Combien de vos élèves ont véritablement appris l’anglais ?

Réponse : Dix.

Question : Ça veut dire que votre méthode n’est pas efficace ?

Réponse : Non, ce n’est pas ça. Le problème est que pour apprendre l’anglais il faut avoir avant tout une attitude. Il faut voir ça comme un travail et la plupart voit cet apprentissage comme un loisir ou pense que quelques heures par semaines seront suffisantes.

 

Je ne sais pas si l’équipe marketing de Vaughan a lu ces paragraphes de son livre avant sa publication, mais il est certain que ces lignes ont dû attirer l’attention lorsqu’elles ont été lues.

 

Ce n’est pas grave, bonne chance à tous. Lorsque vous lirez notre article sur la manière d’optimiser le cerveau, vous serez déjà averti de l’importance de l’apprentissage des langues.

Au cas où, si vous n’avez plus d’autres choix, vous pouvez toujours faire appel à notre service de traduction anglais ;-).

À votre tour maintenant : Comment vous sentez-vous avec l’anglais ? Quelle est votre expérience avec d’autres langues ? Que pensez-vous de l’enseignement de l’anglais ?

 

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Optimiser le fonctionnement du cerveau http://www.mondoagit.fr/optimiser-fonctionnement-cerveau/ http://www.mondoagit.fr/optimiser-fonctionnement-cerveau/#respond Tue, 17 Feb 2015 11:00:20 +0000 http://www.mondoagit.fr/?p=1551 Astrocyte

Aujourd’hui nous publions un nouvel article sur le cerveau. Je l’ai rédigé en me fondant sur un cours très intéressant qui porte le même nom que l’article que j’ai publié il y a quelque temps. J’ai essayé de ne pas le rendre trop technique, préférant insérer quelques liens (vers des articles qui sont malheureusement presque tous en anglais) pour ceux qui voulaient en savoir plus. J’espère que ce sujet vous intéressera autant qu’il m’a intéressé.

Comment pouvons-nous optimiser le fonctionnement de notre cerveau ?

La capacité du cerveau à s’adapter à nos expériences (plasticité) nous permet d’augmenter notre capacité intellectuelle grâce à nos propres efforts.

Notre cerveau dépend de nos expériences propres et continue d’évoluer durant toute notre vie (y compris en créant de nouveaux neurones, comme l’ont démontré de récentes études). Par conséquent, peu importe l’âge que nous avons, nous aurons toujours le temps de modifier la structure de notre cerveau.

Les environnements « les plus riches » semblent nous construire un chemin plus facile pour arriver à atteindre le développement cérébral optimal.

Il a été observé que, lorsque que l’on offre des jouets, des compagnons et des conditions de vie plus agréables aux animaux étudiés, ils créent plus de cellules cérébrales, deviennent plus intelligents et obtiennent de meilleurs résultats lors des tests de conduite.

Chez les humains, l’isolement sensoriel et social durant les premières années de vie conduit à une diminution de l’intelligence, de la santé mentale et à une adaptation difficile. Cependant, le développement de notre cerveau ne dépend pas seulement des stimulus des premières années de vie ; nos activités et nos pensées modifient constamment notre cerveau. L’intelligence ne semble pas être une chose acquise dès la naissance et nous ne pouvons pas la changer. C’est plutôt un processus dynamique que nous sommes capables d’influencer en bien ou en mal en fonction de ce que nous faisons tout au long de notre vie.

Une alimentation adéquate, de l’exercice et suffisamment d’heures de sommeil sont des activités essentielles au bon fonctionnement du cerveau. Généralement, ce qui est bon pour le corps est bon pour le cerveau. Réduire les calories superflues contenues dans votre alimentation peut vous éviter de devenir obèse. On sait aujourd’hui que l’obésité est un facteur de risque pour la démence des personnes du troisième âge et pour d’autres détériorations cognitives. Différentes études démontrent que pratiquer une activité régulière produit des changements positifs dans le fonctionnement du cerveau des enfants comme celui des adultes. Une augmentation du nombre d’heures de sommeil peut également améliorer grandement la capacité intellectuelle à n’importe quel âge. Ainsi, les étudiants qui dorment plus obtiennent de meilleures notes. De courtes siestes de 10 à 20 minutes peuvent aussi aider à améliorer le renforcement de la mémoire et le rendement cognitif.

La mémoire opérationnelle, également appelée mémoire temporaire, est la pièce principale de l’opération mentale la plus importante que le cerveau puisse réaliser : la manipulation de l’information stockée. En améliorant votre mémoire opérationnelle, vous pouvez augmenter votre QI ainsi que votre créativité. Une pratique volontaire constitue la clé de l’amélioration du rendement et de la créativité dans tous les domaines de l’activité humaine, y compris le travail et le jeu.

Nous devons avoir une grande capacité d’attention afin d’optimiser au maximum le rendement du cerveau. La capacité d’attention dans le domaine de l’intellectuel est l’équivalent de la capacité de résistance dans le domaine physique.

Pour diriger l’attention vous devez contrôler deux facteurs essentiels de notre culture actuelle : la distraction et le multitâche. Lorsque nous concentrons notre attention sur quelque chose, c’est moins difficile de l’apprendre et il est plus probable que nous nous en souvenions plus tard. Il est préférable d’éviter le multitâche car notre cerveau est incapable de faire deux choses à la fois.

Voici une question que beaucoup de gens se posent : si en cas de doute nous pouvons consulter instantanément Internet, pourquoi nous embêter à mémoriser ou apprendre quelque chose ?

Le fait de se souvenir de quelque chose facilite l’activation et le ralentissement des circuits cérébraux qui contribuent au fonctionnement optimal du cerveau. L’usage abusif des appareils électroniques (ou d’un autre type de ce soit) peut se traduire, en raison d’une désuétude, par une forte diminution des facultés de notre mémoire.

En obligeant notre cerveau à engranger de nouvelles informations tout au long de notre vie, nous créons une réserve cognitive et plus cette réserve est grande, moins nous sommes sujets à la détérioration cognitive quand nous nous approchons du troisième âge. Notre cerveau n’a pas de « limites de stockage ».

En général, plus nous recevons d’éducation et acquérons de connaissances durant notre vie, moins nous avons de probabilités de souffrir de démence sénile.

 

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La traduction d’un point de vue neuropsychologique http://www.mondoagit.fr/traduction-neuropsychologique/ http://www.mondoagit.fr/traduction-neuropsychologique/#respond Mon, 02 Feb 2015 06:54:48 +0000 http://www.mondoagit.fr/?p=1561 boire

Boire ou traduire, il faut choisir

La traduction implique, pour quiconque voudrait essayer de réaliser ce type d’activité, un grand effort mental. Pour réaliser cette activité, nous devons d’abord comprendre le texte (généralement écrit dans une langue différente de la nôtre) et ensuite le formuler dans une autre langue (qui est, en général, la nôtre).

On parle beaucoup des systèmes de qualité (ISO, UNE), des contrôles et des diplômes que doivent avoir les traducteurs, ce qui est très bien, puisque comme je le dis toujours, le pire traducteur ne pourra jamais faire une bonne traduction. Mais en réalité, on oublie le plus important, ce qui explique que le meilleur traducteur qui soit peut lui aussi réaliser une mauvaise traduction (voire très mauvaise).

Le plus important devrait être quelque chose comme : « boire ou traduire, il faut choisir ». Ou exprimé d’une autre façon : si votre capacité mentale est diminuée par la fatigue, les drogues (alcool, médicaments, etc.) ou parce que votre chat est mort, ne traduisez pas. [Si vous comprenez que si vous ne savez pas conduire (c’est-à-dire que vous ne maîtrisez pas l’autre langue), il est préférable que vous ne conduisiez pas le véhicule (la traduction).]

En lisant le livre Système 1 / Système 2 : Les deux vitesses de la pensée de Daniel Kahneman j’ai pu constater que ce « boire ou traduire, il faut choisir » a aussi son explication neuropsychologique. Apparemment, il existe deux types de procédés dans le cerveau, ceux réalisés rapidement et automatiquement et ceux réalisés de façon lente, qui nécessitent des efforts et de la concentration.

Tel que je le comprends, la traduction est le mélange parfait de ces deux procédés. Les procédés rapides, une fois que nous avons atteint un niveau suffisant dans l’autre langue et de l’expérience en traduction, nous suggèrent la traduction des phrases sans effort, quasiment automatiquement. Les procédés lents quant à eux, nous permettent de comprendre tout d’abord les phrases, puis de vérifier que ce que nous pensions avoir compris soit correct et bien formulé dans le texte que nous avons écrit.

Selon les connaissances et l’expérience du traducteur, celui-ci aura plus (et plus intensément) de pensées lentes ou plus de pensées rapides durant l’activité de traduction.

En tout cas, en résumé, un conseil pour nos clients et coordinateurs de traductions, la prochaine fois que vous envoyiez un texte à traduire, rappelez au traducteur qu’il doit choisir entre boire et traduire.

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Salut Mondo ! http://www.mondoagit.fr/bonjour-mondo/ http://www.mondoagit.fr/bonjour-mondo/#respond Wed, 28 Jan 2015 16:00:18 +0000 http://www.mondoagit.fr/?p=753 Me

Le blog de Mondo Agit est enfin disponible. Vous trouverez ici des publications sur la traduction, la culture, le langage, le marketing, la psychologie, l’entreprise et bien d’autres sujets liés.

L’idée est de publier un article tous les dix jours, mais ça pourrait changer avec le temps.

Pour le moment, et pour ne pas rester sur des promesses, vous pourrez profiter de quelques publications déjà en ligne. Si elles vous plaisent, vous pouvez vous inscrire pour recevoir des notifications lorsqu’un article est publié sur notre blog. Ainsi, vous n’en manquerez pas un et vous recevrez de nos nouvelles par mail.

Si vous souhaitez partager avec nous votre opinion, n’hésitez pas à vous rendre sur les réseaux sociaux ou à laisser vos commentaires en-dessous des publications.

Bienvenue !

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Bonne année 2015 ! http://www.mondoagit.fr/bonne-annee-2015/ http://www.mondoagit.fr/bonne-annee-2015/#respond Mon, 22 Dec 2014 14:59:06 +0000 http://www.mondoagit.fr/?p=496 Stuttgart

Chers clients, chers collaborateurs, chers amis,

Nous vous souhaitons pour 2015 que tous vos efforts soient récompensés comme il se doit.

Nous restons engagés dans notre défi journalier de répondre à votre confiance avec la même qualité, le même engagement, et le même respect.

Cordialement,

L’équipe de Mondo Agit

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PerMondo, une initiative basée sur la collaboration et la synergie http://www.mondoagit.fr/collaboration-synergie/ http://www.mondoagit.fr/collaboration-synergie/#respond Fri, 28 Nov 2014 14:08:09 +0000 http://www.mondoagit.fr/?p=495 collaboration

Cela fait cinq ans maintenant que Mondo Agit a entamé sa collaboration avec PerMondo pour la localisation de pages web et la traduction de textes pour des associations sans but lucratif. Depuis lors, nous avons soutenu des associations à travers le monde telles que

Action contre la faim, Bezev e.V., CEAR, Club de Rome, Cultural Planet, ELIANT, Fair Trade – Commerce équitable, Fondation Félix Rodríguez de la Fuente, Fundación Manantial, Organic Vision, Shelterbox, SOS Villages d’Enfants, Welthaus, WWF et bien d’autres.

L’initiative de traduction gratuite a été lancée en 2009 et a déjà réalisé plus 200 projets de traduction gratuite avec l’aide de Mondo Agit.
De nombreuses pages web ont ainsi été traduites pour diverses associations, et des services de localisation géographique ont été offerts, rendant possible la diffusion des messages des associations à travers le monde entier.

Mondo Agit a mis à la disposition de l’initiative PerMondo ses grandes connaissances en matière de traduction et de localisation de pages web, pour pouvoir travailler avec des formats de texte peu utilisés ou difficiles et avec des systèmes de gestion de contenu comme typo3, Joomla ou Drupal, ou directement avec des documents html, et pour pouvoir adapter les pages web pour pouvoir ajouter plus de langues, sans qu’il y ait de problèmes. Nous avons toujours réussi à faire face à n’importe quel défi.

Comme vous le savez déjà, l’objectif de PerMondo est d’offrir des traductions gratuites à des associations et des initiatives sans but lucratif qui auraient besoin d’une aide, tout cela, grâce au soutien des traducteurs bénévoles et des sponsors ainsi que des associations elles-mêmes.

Si vous souhaitez plus d’informations, vous pouvez vous rendre sur la page web de l’initiative PerMondo.

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